Les romans dessinés ne se cantonnèrent pas au seul domaine de « l’eau de rose ». Ils se déclinèrent aussi dans les genres, policier, très à la mode dans les années 50, espionnage et science-fiction.
Mais dans ces genres-là le pire côtoyait le meilleur, car les petits tâcherons anonymes qui dessinaient étaient payés au lance-pierre par des éditeurs menacés de censure. Exemples :